Sauvons le climat dénonce ici quelque chose d’intéressant, le business du renouvelable s’est révélé extrêmement rentable pour quelques uns de ses fondateurs :
[…] l’un des acteurs les plus en vue du green business, fondateur de la SIIF […] ancêtre d’EDF-Energies Nouvelles, se retire de celle-ci avec un magot de 600 M€
[…] un autre (fondateur de « la Compagnie du Vent », récemment éjecté de GDF-Suez14) assis sur une pelote (275 M€, montant contesté) moitié moindre
[…] un « pauvre » ayant vendu son parc Erelia au même GDF pour 120 M€ seulement
[…] telle autre miséreuse dont le pactole plafonnerait à 100 M€ !

Gagner autant d’argent sur un société que l’on a créé ne poserait pas problème, s’il ne s’agissait pas de sociétés dont les opérations ont été entièrement subventionnées par les contribuables, c’est à dire que ces gains correspondent à des bénéfices réalisés uniquement grâce aux subventions publiques.