Sauvons le climat a étudié le cas du parc Robin Rig entre l’Écosse et l’Angleterre :
http://www.sauvonsleclimat.org/etudeshtml/vent-de-mer-vent-de-terre/35-fparticles/948-vent-de-mer-vent-de-terre.html

Le bilan sur 17 mois est sans appel, un taux de charge à 30 donc pas réellement mieux qu’au sol, et surtout tout comme au sol, de longues périodes sans vent, un tiers du temps inférieur à 5% avec des variations brutales, plusieurs à 1%, dont une qui dure 4 jours.

La figure 9 est particulièrement inquiétante, la distribution est particulièrement plus étalées entre le min et la max que pour l’éolien on-shore, avec un pic au min (à 30%) et un pic au max (à peine au dessus de 5%, mais c’est plus que le pourcentage de temps passé dans n’importe laquelle des autres tranches entre 25 et 90 %).
Le rapport note que tout comme pour l’Allemagne il est parfois nécessaire d’arrêter la production par moment.
De quoi donner des cauchemars à n’importe quel gestionnaire de réseau électrique.