Le capital est une ressource limitée : Mais qu’est-ce qui empêche techniquement d’avoir une banque centrale qui « crée » du capital en imprimant des billets sans limite pour tout ceux qui déclarent avoir besoin de ce capital pour investir utilement, qu’est ce qui fait que le capital en soit est une ressource limitée ? Rien, sauf que … La vrai limite, ce sont les ressources que ce capital permet d’acheter. Le capital permet de payer des ouvrier, de s’accaparer des matières premières, etc : Tous sont disponibles en quantité limité.

Si la banque centrale imprime des billets en quantité illimitée à tous ceux qui sont demandeurs, on va voir un paquet de rigolo, de type loufoques, de « Jean-Luc Mélenchon » qui n’ont jamais dirigé une entreprise, ni été entrepreneurs, ni créé de la valeur industrielle par eux même, mais qui ont plein de bagout pour convaincre beaucoup de monde que leur idée sont *génialissimes*, donc on les verra arriver et déclarer que *leur* projet est celui auquel il faut attribuer le capital, capital limité dans la mesure où les ressources qu’il permet de s’acheter sont limitées.
Comment la banque centrale choisit-elle ? Soyons claire et net, elle n’en a pas la capacité.

Le système capitaliste actuel est que ceux qui décident sont ceux qui ont déjà du capital, c’est à dire, ceux qui su déjà soit diriger, soit reconnaitre, des projets qui avait de l’intérêt, et qui était capable de créer de la valeur, donc du capital. Et qui sont donc les mieux placés pour déterminer où le capital doit aller.
Et surtout pas une administration qui de manière répétée démontre régulièrement son incompétence absolue dans ce domaine.

Soyons clair par contre, que cela signifie qu’il n’y a *aucune* raison qu’on obtienne ce capital du simple fait d’être le fils de X ou de Y, et dans cette logique, je serais personnellement pour, exactement au contraire de Sarkozy, une très forte taxation des héritages, elle pourrait même être de 100% sans me gêner plus que cela.

Une économie à la Mélenchon, où de manière centralisée on « détermine quels besoins […]; fixe des règles […] ; stimule la recherche […] » , est celle où l’état contrôle tout et cherche à résoudre tous les problèmes lui même de manière centralisé. Les soviétique ont réalisé que cela ne marchait pas et ont commencé les réforme pour sortir de cela en *1965*, avec les réforme Kosygin je cite wikipedia en sur le sujet :
« conscious of the First World’s superiority, [Kosygin] believed that decentralisation, semi-public companies, and cooperatives were keys to catching up. His reform sought a gradual change from a « state-administered economy » to an economy were « the state restricts itself to guiding enterprises »,
Ce sur la base des idée de l’économiste soviétique Evseï Liberman avec malheureusement un croyance qui restait plus forte que celle de Liberman, et donc des modifications dans ce sens des ses propositions, sur la capacité de contrôler centralement d’une manière toujours quand même encore élevée ce que faisaient les entreprises.

Et même cette libéralisation partielle de l’économie, rapidement fortement limitée par Brejnev qui ne partageait pas vraiment les idée de Kosygin, n’a jamais atteint les performances de celle américaine qui eux n’ont jamais cherché à contrôler ce que font.

Au total :
– Début du soviétismes contrôle centralisé absolu des entreprises : Désastre et famine
– Suite du soviétisme, coexistence d’un marché libre à coté de celui centralisé : Toute l’économie survit grâce à la partie libre
– Réformes Kosygin, lâché de bride partiel aux entreprises : une sensible amélioration
– Economie US avec aucun contrôle , des entreprises qui déterminent librement ce qui marche et se focalisent dessus : Une économie bien plus performante que celle soviétique ne l’a jamais été