La Billetterie

Un peu de tout saupoudré délicatement

Le suite de gadgets chinois propose quelques ampoules LED :
dealextreme : dealextreme : E27 1210 13W 690LM 3200K 30-SMD LED Warm White Light Lamp Bulb (110~265V) à $32.40
E27 13W 52-5050 SMD LED White Light Lamp Bulb (85~265V) à $18.40
La première est à 53lm/W, comparable aux fluocompactes, il faut espérer que la durée de vie soit nettement meilleure ce qui n’est pas garantie. Donc sauf pour un usage très intermittent, mais dans ce cas le surcoût n’est jamais remboursé. Pas franchement convaincant au total donc.

Le site français suivant propose maintenant (juillet 2012) des 60 LED E14 30W JDR blanc chaud tout à fait comparables (160lm, 53lm/W), mais à 7€ l’unité, et 64,70 € les 10. on commence à être vraiment concurrentiel avec le LFC.

Incroyable mais vrai :
Le Point : En Hongrie, les plus démunis se chauffent aux billets de banque
Chaque année, la MNB retire de la circulation environ un quart de l’ensemble des billets pour usure […] Il faut près de cinq millions de forints (17.000 euros) pour fabriquer une seule briquette, d’environ un kilogramme. Les billets passent d’abord à la déchiqueteuse, puis le tas de papier est compressé, sans ajout d’additif chimique.

D’après fukushima.over-blog.fr :
1143 enfants (plus de 30%) sur 3765 de Fukushima ont des anomalies de la thyroïde
– Nombre total d’enfants testés : 3765
– Nombre d’enfants trouvés avec des grosseurs de 5,1 mm ou plus : 26 (0,7 %)
– Nombre d’enfants avec des grosseurs plus petites que 5,1 mm : 1117 (29,7 %)
– Nombre d’enfants trouvés avec aucune grosseur : 2622 (69,6 %)

573 décès ont été certifiés liés à la catastrophe nucléaire
Par ailleurs, on ne sait toujours pas ce que sont devenus les centaines d’employés à la centrale de Fukushima en 2011 qui ont mystérieusement disparu des listes administratives de Tepco. Pas de noms, pas de morts.

Le lien développeur :
http://developer.motorola.com/docstools/USB_Drivers/

Le lien utilisateur standard :
http://www.motorola.com/consumers/v/index.jsp?vgnextoid=bda09ec8009a0210VgnVCM1000008806b00aRCRD

Ce papier retrace 3 cas où des espions cubains ont été intercepté par le FBI, et comment celui ci a récupéré leurs message chiffré par OTP :
http://users.telenet.be/d.rijmenants/papers/cuban_agent_communications.pdf

Cela illustre bien qu’en pratique la difficulté d’utilisation de l’OTP conduit à une système qui n’est pas sûr. L’article s’interroge longuement sur pourquoi les cubains ont sacrifié la sécurité de l’OTP en laissant leurs espions l’utiliser sur un ordinateur, mais la procédure la plus sure est tout simplement trop complexe pour qu’un agent s’en serve de manière réellement sure. Et même en faisant tout sur papier, il reste le risque que des traces subsistent, texte non détruit, marque d’écriture sur un support, etc.

Un papier de plus sur le sujet : http://www.washingtonpost.com/sf/feature/wp/2013/04/18/ana-montes-did-much-harm-spying-for-cuba-chances-are-you-havent-heard-of-her/
translated contents of the hard drive … documents, which Montes had tried to delete, included instructions on how to translate numbers-station broadcasts and other Spy 101 tips … One file mentioned the true last name of a U.S. intelligence officer who had been operating undercover in Cuba. Montes had revealed the agent’s identity to the Cubans … tossed Montes’s pocketbook into his toolbox and slipped off. The FBI quickly copied the contents and returned the pocketbook. Inside her purse were pager warning codes and a phone number (area code 917) later traced to Cuban intelligence. … Cuba had a long history of selling secrets to the United States’ enemies

Hidden in the lining of a notebook they found the handwritten cipher Montes used to encrypt and decrypt messages

L’article récent du Spiegel critique sur le choix du photovoltaïque est disponible traduit en français sur le site de « sauvons le climat » :
Allemagne : la foi aveugle dans l’énergie solaire

La centrale américaine de Yankee Rowe est un exemple de démantèlement d’une installation REP, donc une technologie similaire à celle utilisée en France.

Le coût de son démantèlement est chiffré à 250 millions d’euro (350 m$), donc par rapport à sa puissance de seulement 167 MWe, un chiffrage compatible avec celui retenu par EDF pour les centrales françaises.

Un rapport sur les expériences américaines est disponible : http://www.maineyankee.com/public/pdfs/epri/my%20epri%20report-2005.pdf

L’IRSN met en ligne le site suivant sur les mesures de radioactivité dans le territoire français :
http://sws.irsn.fr/sws/mesure/index

Malheureusement c’est plutôt mal conçu.
Pas de résultat global, l’obligation pour voir des valeurs de descendre jusqu’au résultat chiffrés concernant un prélèvement précis, pas d’aperçu avant de quel coté on peut voir des résultats significatif.
A la fin, on a des variances fortes des valeurs sans explications, les tableaux mettant cote à cote des mesures effectués avec des techniques différente et donc non comparables directement (dans de nombreux cas, la valeur est inférieur à la limite de détection. La valeur indiquée est du coup celle de la limite de détection. Mais cette limite varie très fortement en fonction de la technique donnant lieu à des chiffres complètement différents).

Une interview intéressante avec Dominique Maillard, président de RTE sur la tribune.

Les points à noter :
— les projets
— interconnexion souterraine France Espagne (capacités ? du 225 000 V ?)
— nouvelle lignes haute tension depuis Flamanville pour développer le réseau ouest, avant même la fin du chantier de l’EPR
— Var / Alpes maritimes : Doublage de l’unique ligne 400 000 V de long de la côte + 3 lignes souterraines 225 000 V.
— Filet de sécurité à 225 000 V entre Lorient et Saint-Brieuc
Centrale au gaz de 450 MW à Brest pour 2017.

— les orientations :
— projet de quelques GW d’hydroliennes entre Flamanville et Granville
— capacité d’importation : moins de 10 GW sur 46 interconnexions
— Bretagne : Ajout de batteries de condensateurs pour tenir le réactif

— bilan export
— + 89% d’export en 89
— pic 8 février 2012 : 101,7 GW, avec 7.8 GW d’importation
— les importations permette d’économiser par rapport à redémarrer des centrales thermiques, mais on pourrait se contenter de cela s’il le fallait

Au passage au sujet de la centrale de Briec : Les écologistes Bretons la contestent fortement, et notent un point assez pertinent. Cette centrale en cycle combiné va être utilisée en production de base, ce qui est assez contradictoire avec l’affirmation d’EDF comme quoi il s’agit de gérer la consommation de pointe.
http://www.cornouaille-ecologie.eu/spip.php?article1059
http://www.brest-ouvert.net/article11428.html

Un article de la tribune sur le retour d’ATR grâce à l’augmentation du pétrole :
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120218trib000683764/atr-ou-l-incroyable-resurrection-d-un-constructeur-d-avions-a-helices.html

Sur 370 km, un ATR consomme au passager 15% de moins de carburant qu’une voiture. Certains jets sont capables de performances comparables (l’A380 peut descendre à 2L/passager en configuration 840 places) mais seulement sur les longues distances.
Tout ceci devrait permettre à l’aérien de mieux résister à un futur qui sera inquiétant pour le pétrole.

La DCNS a imaginé le projet Flexblue de réacteur nucléaire sous-marin de type SMR :
http://en.dcnsgroup.com/energy/civil-nuclear-engineering/flexblue/

De 50 à 250 MW, placé de 60 à 100 m sous l’eau, à plusieurs kilomètres de la côte, même si le réflexe initial des écologistes est de hurler à l’idée d’une telle solution, il a un paquet d’avantages à faire valoir pour la sécurité :
– pas possible de manquer d’eau pour le refroidissement, de geler, pas possible d’être victime d’un tsunami
– même un tremblement de terre est nettement plus facile à gérer que dans une structure imposante à terre, le réacteur qui est simplement posé sur le sol peut être secoué, bouger, mais sa structure ne subira pas les mêmes contraintes physique
– conçu depuis le départ pour fonctionner sans connexion avec le réseau électrique externe, donc pas de risque lié à la disparition de celui-ci
– très difficile à accéder depuis l’extérieur, immunisé contre la majorité des scénario d’attaque terroristes, à 100m seuls des plongeurs professionnels équipé d’un équipement spécifique peuvent le rejoindre

Il est probable que la consommation de combustible soit supérieure à celle d’un modèle de plus forte puissance, et le déplacement qui est prévu pour le recharger en combustible est clairement le point faible qui reste.

Le projet se base sur l’expérience acquise dans les sous-marins nucléaires, et en fait réutilise uniquement des technologies existantes, sous une forme différente.
La DCNS fait valoir son expérience dans le nucléaire civil, dont les EPR, et sa qualification suivant les normes américaines :
http://en.dcnsgroup.com/energy/civil-nuclear-engineering/ RCC-M and RCC-MR rules for design and construction and ASME (American Society of Mechanical Engineers) standards.

Le témoignage de David Roquet cité dans un article du Monde sur le financement de l’affaire Carlton, remet fortement en cause les pratique d’Eiffage :
« Chaque mois, je donnais mes reçus, mes fiches de restaurant à ma comptable, qui faisait la saisie dans un tableau. C’était ensuite envoyé au (…) responsable comptable régional. C’était validé par M. Vergin. »
« C’est une relation qui aurait pu être utile au groupe à terme, détaille-t-il. Dans les affaires, c’est bien d’être connu et pour un patron d’avoir accès à la présidence. Eiffage aurait pu proposer notamment des projets comme des partenariats public-privé. »

Complément : On continue à en apprendre de plus en plus :
http://www.lemonde.fr/dsk/article/2012/02/23/affaire-du-carlton-comment-un-petit-monde-de-courtisans-uvrait-autour-de-l-ex-favori-de-l-elysee_1647210_1522571.html
René Kojfer, le chargé de relations publiques du Carlton, qui comptait dans son portable le numéro de téléphone de Frédéric Veaux, numéro deux de la DCRI
les « très régulières » notes de restaurants comportant, au dos, la mention « PJ Lille » ou « SRPJ », David Roquet explique ainsi, le 25 janvier: « Ça faisait partie des relations publiques de ce métier-là (…), les us et coutumes du BTP. »
conventions du groupe Eiffage, mon patron (…) était fier de nous dire: “J’ai mangé avec le député-maire de Millau, j’ai une réunion avec untel” (…). Le PDG de la branche Eiffage travaux publics disait toujours: “Il faut sortir vos élus.”

En tout cas, dans le monde moderne, les téléphones portables sont vraiment bavard 🙂

La compagnie américaine suivante propose un thermostat intelligent pour des économies d’énergie :
http://www.nest.com/

Plus esthétique qu’un thermostat classique, affichant la température actuelle, il suffit de le tourner pour changer la consigne, et surtout il mémorise le moment où on a changé la température souhaitée pour le faire automatiquement par la suite.
Il est de plus capable de détecter les mouvements et de savoir si des personnes sont présentes pour couper automatiquement le chauffage.
Toute ceci a cependant un coût, 259$.

Le sujet bouge actuellement :
Les spec de DOMCryptAPI dans WiMo
Au niveau du W3C : Web Cryptography Working Group Charter

Il y a aussi le groupe JOSE : Javascript Object Signing and Encryption (Active WG) à l’IETF

MDN : window.crypto a gagné une référence à ce sujet.

Jungshik s’exprime à ce sujet : [whatwg] window.cipher HTML crypto API draft spec

Kyocera propose une installation solaire entièrement autonome grâce à l’utilisation d’une batterie lion-ion :
http://global.kyocera.com/news/2012/0102_qpaq.html

Toutefois à grande échelle, çad pas celle d’une maison, mais d’une ville, d’une région, ou encore d’un pays, ce type de batterie coûte trop cher pour être généralisable et résoudre le problème de la disponibilité du solaire.
Et lorsque l’ensoleillement est faible, mauvais temps, etc. la batterie ne tiendra pas très longtemps.

Conférence de Paris : http://krugman.blogs.nytimes.com/2012/01/30/eurozone-problems/
Divergence avec Niall Ferguson : http://www.businessinsider.com/niall-ferguson-paul-krugman-was-right-2012-1#ixzz1l0LZM8l5

Il semble bien que sa solution soit une inflation qui baisse les salaires réels du sud de l’Europe, et des salaires qui au contraire augmenteront proportionnellement à l’inflation en Allemagne.
Quoi qu’on en dise, c’est tout à fait douloureux pour les pays concernés, il s’agit bien une baisse importante des salaires réels qui n’a rien de plus agréable si elle fait suite à l’inflation que si elle est suite à des hausse d’impots, et pas si facile à organiser pour tout un tas de raison (dont le fait que l’Allemagne ne veut pas entendre parler d’inflation)

japanese.stackexchange : How rude is it to say 寝ぼけてるんじゃねぇよ!
japanese.stackexchange : “You don’t have to be so polite.” Really?
japanese.stackexchange : Does タメ語ご mean “casual speech”?
japanese.stackexchange : What does ちょちょい mean?

En fait maitriser le niveau de politesse adéquat en s’exprimant dans une langue étrangère telle que le japonais n’est pas évident. C’est vrai qu’une fois que l’on commence à maitriser la langue on commence à avoir envie de s’éloigner des expressions très correcte des cours de langues et s’exprimer de manière similaire aux autres personnes que l’on entend, plus vernaculaire.
Cependant comme le montre indirectement les discussions ci-dessus, ce n’est pas si simple.

D’une part , s’exprimer maladroitement quand on parle très poliment n’a jamais de conséquence grave, alors que si on commence à introduire des expressions plus populaire commettre les mêmes maladresses devient facilement nettement plus génant.

Ensuite il y a un autre effet important : Automatiquement, on s’attend à ce qu’un étranger, et en fait on *attend* d’un étranger, qu’il s’exprime avec un registre de vocabulaire plus soutenu que celui d’un locuteur natif. Exactement la même expression, qui ne choquera pas venant d’un natif, choquera venant de quelqu’un qui ne l’est pas. Ce n’est pas réellement spécifique au Japon, d’ailleurs, dans toutes les langues, tous les pays, le même phénomène se produit. Mais c’est un aspect particulièrement important à prendre en compte dans un pays comme le Japon où le respect des règles, l’image que l’on donne de soi aux autres, sont d’un tel poids. Et ne pas oublier qu’en faisant l’effort de parler japonais, on a perdu une partie de cette distance qui permet à l’étranger de faire des bétises sans avoir à en subir les conséquences.

Site cours Japonais : http://maggiesensei.com/

Vie de CIR au Japon : http://saninstory.wordpress.com/

En 1996, un technicien ayant travaillé des années sur divers chantiers de centrales au Japon, témoigne sur les pratiques qu’il a constaté, avant de prendre sa retraite et de tomber malade d’un cancer
http://www.jp-petit.org/nouv_f/seisme_au_japon_2011/temoignage_chaudronnier_Japonais-1996.htm

L’article suivant évalue le prix du PV et à quel point celui-ci a diminué récemment :
http://www.greentechmedia.com/articles/read/polysilicon-prices-hit-record-lows-in-2011-will-head-even-lower-enabling-0/

A étudier, cette étude sur l’avenir du coût du PV, critique sur les économie que les effets d’échelle apporteront, car la réduction du prix des cellules ne permettant pas tous les espoirs, il ne faut pas oublier le poids du reste des dépenses :
http://wattsupwiththat.com/2011/12/03/the-dark-future-of-solar-electricity/

En 1968, les américains perdent un bombardier B52 au Groenland alors qu’il transportait 4 bombes nucléaires :
http://en.wikipedia.org/wiki/1968_Thule_Air_Base_B-52_crash
L’ensemble de la charge a été dispersé sur la banquise, et une partie d’une des bombe jamais retrouvée.

Cf aussi BBC : http://news.bbc.co.uk/2/hi/7720049.stm